La classe active des personnes âgées de moins de 35 ans est de plus en plus confrontée aux situations de surendettement. Un problème qui reste pour le moins alarmant puisque le phénomène prend de l’ampleur selon l’Observatoire du crédit et de l’endettement (OCE) belge. Quel est l’état des lieux et quelles pistes pour s’en sortir ? Réponse dans ce qui suit. 

Emprunteurs défaillants, des chiffres qui incitent à l’action

Sur la période de 2007 à 2018 le nombre d’emprunteurs défaillants est passé de 319.092 à 354.879 avec un pic de 370.701 en 2016. L’analyse de l’OCE indique aussi que la catégorie de personnes concernée subit un fort taux de chômage. Et aussi paradoxal que cela puisse paraître, les ménages les plus fragiles empruntent généralement beaucoup. Dans la foulée, on observe que la dette hypothécaire des ménages ne cesse d’augmenter depuis pratiquement deux décennies déjà. 

Quelles solutions pour éviter ou sortir du surendettement

Il est conseillé de s’assurer de sa capacité de remboursement avant de souscrire à un prêt. Cependant, il reste difficile de ne pas emprunter avec les facilités qu’offrent les établissements financiers. 

Pour les personnes en situation de surendettement, le regroupement de crédit reste la meilleure solution pour sortir du rendement. Cette mesure permet de réunir sous une même ligne de crédit les différents remboursements en cours (prêt auto, prêt personnel, prêt travaux, etc.). 

Dans la foulée, on bénéficie d’un meilleur taux de remboursement pour des mensualités plus souples. Ce qui permet de rembourser sans pour autant empiéter sur son mode de vie et ses habitudes.  En bénéficiant d’une offre de rachat de crédits, il vous restera assez d’argent pour épargner et/ou pour financer des projets qui vous tiennent à cœur. 

Miser sur le rachat de crédit permet de réunir toutes vos créances en une seule et de suivre un seul échéancier de remboursement. Cette solution offre de meilleures perspectives pour mieux réorganiser ses finances. Une démarche utile pour ne rater aucun paiement et garder le statut de bon payeur auprès de sa banque.